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Full-RSE , c’est quoi ?

Full-RSE , c’est quoi ?

« L’Entreprise Full-RSE, c’est l’entreprise de demain ….

L’entreprise du XIXe siècle s’éteint à petit feu, vive l’entreprise « full RSE  » du XXIe siècle ! C’est en substance le message délivré par l’étude coordonnée par l’Institut de l’Entreprise, la Fondation Nationale pour l’Enseignement de la Gestion des Entreprises (FNEGE) et PwC France et Maghreb. , notent les auteurs du rapport intitulé « l’entreprise full RSE, de la prospective à la pratique, la vision des professionnels ».

« Depuis le XIXe siècle, la nature, les personnes, la société, la science, la culture, la liberté ont été perçues comme des ressources pour les entreprises. Aujourd’hui, nous attendons à l’inverse que les entreprises soient à leur service, et qu’elles prennent pleinement part dans la résolution des défis qui nous préoccupent« , indique ainsi l’étude. Pour ce faire, les entreprises doivent intégrer plus complètement les politiques de responsabilité sociale et environnementale (RSE) dans leur stratégie, leurs pratiques et leurs métiers. « L’Entreprise Full-RSE, c’est l’entreprise de demain, fer-de-lance d’un modèle entrepreneurial à la française« , lance ainsi le rapport qui s’appuie sur les expertises de professionnels et d’universitaires.

EXTRAIT  DE     © 2022 Novethic – Tous droits réservés

En ce début d’année 2022

En ce début d’année 2022

En ce début d’année 2022,

après cette longue période COVID ou nous avons eu le temps de réfléchir

l’équipe ORAPP vous souhaite  de vous « lancer » /  Lancer vous avec optimisme !

Chaque génération à des opportunités, chaque génération a ses difficultés, rien n’est jamais facile  Se construire un patrimoine, préparer sa retraite est avant tout une posture

Je ne peux m’empêcher de citer un très bon article publié sur LBP qui remet les idées en place.

« Se constituer un patrimoine suppose d’être capable d’écouter son bon sens et de prendre des décisions qui ne sont pas rationnelles ou validées par une simulation excel. Il faut être capable de prendre des risques et accepter l’aléa de ne pas savoir.

S’il était possible de se construire un patrimoine élevé à partir d’une feuille excel…… alors tout le monde ferait fortune

La prise de risque et l’aléa suppose une forme de naïveté et d’inconscience qui seules permettent de supporter le stress temporaire que cela engendre. »

AL DUPONT PELLETIER   watchful manager chez ORAPP  courtier de proximité sensible et actif

Et les banques en 2021…

Et les banques en 2021…

Banques de détail

Banques d’affaires

Banque d’investissement :

plusieurs types de banques cohabitent mais toutes reposent sur un même objet social : faire commerce de l’argent. Les banques sont donc des entreprises qui proposent à leurs clients des services de financement, de gestion de l’épargne et des flux de trésorerie.

Qu’elles soient à capitaux privés, publics ou d’essence mutualiste, qu’elles s’adressent principalement à des clients particuliers – on parle alors de banque de détail – ou à des entreprises, des institutions privées ou publiques – on parle alors plutôt de banque d’affaires ou de banque d’investissement -, les banques sont des entreprises qui font commerce de l’argent.

Elles proposent à leurs clients des solutions de financement – comme des crédits immobiliers, des prêts personnels, des facilités de paiement (découvert) – et des services de gestion de l’épargne et des flux de trésorerie – comptes courants, moyens de paiement tels les cartes de débit ou les chèques. Elles font figure d’intermédiaires avec les marchés financiers pour les ménages et les entreprises.

Les banques françaises, telles que BNP Paribas, Société Générale ou Crédit Agricole, privilégient une approche «tout-en-un» où l’ensemble des services et métiers bancaires sont proposés au plus large éventail de clientèles. Cette stratégie est dite de «banque universelle».

Financer l’économie

La première mission d’une banque commerciale est de financer les acteurs économiques.

Sa rémunération dépend à la fois des commissions qu’elle perçoit de ses clients et de la marge d’intermédiation qu’elle génère dans les opérations de crédit. On parle alors de «transformation» : la banque se finance elle-même sur des durées plus courtes – et à meilleur marché – que celles sur lesquelles elles octroient ses crédits.

Gardez à l’esprit qu’une banque est une centrale de risques. Car prêter est par nature risqué puisque tous les créanciers ne rembourseront pas.

Son savoir-faire réside dans sa capacité à équilibrer les prêts entre ses différentes familles de clientèle – particuliers, entreprises, institutions, associations – afin d’équilibrer ses risques.

Les créances douteuses et litigieuses doivent être provisionnées car elles sont susceptibles de susciter une perte finale. On parle alors de «coût du risque».

 

Licence bancaire

Si les banques sont des entreprises commerciales qui répondent comme d’autres à des impératifs de rentabilité, elles sont également très réglementées au nom de la protection de leurs clients et de la sécurité financière.

Attention, toutes les entreprises qui collectent des dépôts monétaires de clients ne disposent pas nécessairement d’une licence bancaire. Mais celle-ci est obligatoire pour les opérations de crédit.

Longtemps, les banques ont disposé dans la loi française d’un monopole sur ces financements. Mais ce strict encadrement a été allégé pour permettre notamment le développement des plateformes de financement participatif (crowdfunding).

En accordant des crédits, elles sont amenées à créer de la monnaie. Elles peuvent se refinancer en partie auprès de la banque centrale. Pour les banques des pays membres de la zone euro, il s’agit de la Banque centrale européenne, basée à Francfort.

Sécurité financière

Plus la taille d’une banque est importante – avec un bilan qui peut parfois dépasser 1.500 milliards d’euros -, plus la solidité est un sujet sensible.

On parle alors de «banque systémique». Le cas échéant, sa faillite ferait courir des risques à l’ensemble du système financier et à tous les agents économiques.

Mais sans aller jusqu’à la faillite, une banque qui serait perçue comme fragile par ses clients s’exposeraient à des retraits d’argent. Une vague massive de retraits est appelée «bank run».

Un tel mouvement est en quelque sorte autoréalisateur puisqu’une telle défiance de ses clients peut placer la banque dans l’incapacité de se refinancer. Et lui imposer de s’adosser – c’est-à-dire se vendre – à un concurrent.

La confiance dans sa solidité constitue donc l’un des principaux actifs d’une banque.

Depuis une quarantaine d’années, les États et les autorités monétaires n’ont eu de cesse de durcir la réglementation appliquée afin de préserver ce bien public qu’est la sécurité financière systémique.

Les banques doivent donc impérativement respecter des règles prudentielles de solvabilité et de liquidité.

On distingue trois principaux types de banque en France :

  • Les banques traditionnelles ou celles des assureurs
  • Les banques en ligne
  • Et les banques mobiles

Banque classique ou « traditionnelle »

Les banques classiques telles que la BNP, la Société Générale ou encore le Crédit Mutuel possèdent toujours la plus grande part de clients en France. Elles permettent d’ouvrir un compte bancaire, lequel est la plupart du temps associé à un pack comprenant une carte de débit et divers services.

Les banques dites « traditionnelles » sont aujourd’hui pointées du doigt pour leurs tarifs bancaires. Elles misent tout sur leur capacité à proposer un véritable suivi particulier, représenté par la présence d’un conseiller disponible en agence. Cette simple présence ne pèse malheureusement pas toujours assez dans la balance, d’autant que les banques en ligne proposent des services connectés (tchat, téléphone) toujours plus performants.

Conséquence directe, certaines banques traditionnelles ont mis sur pied leur propre banque en ligne. C’est par exemple le cas de BNP Paribas avec Hello Bank, que nous considérons comme la meilleure banque 2019.

Les banques en ligne

Les banques en ligne n’en finissent plus de séduire les Français. Souvent portées par l’accès à une carte bancaire gratuite, elles possèdent un statut identique aux différents types de banque traditionnelles.  Le principal atout des banques en ligne est leur coût : elles sont gratuites ou très accessibles.

Leur licence bancaire française ou européenne leur permet également de proposer tous les services d’une banque classique. La plupart des frais bancaires classiques sont également moins coûteux au sein d’une banque classique. Parmi les types de banque en ligne, on distingue également l’émergence de banques orientées « 100% mobile ».

La banque mobile ou « néobanque »

Le principal critère différenciant entre une banque en ligne et une banque mobile est son statut. Les banques mobile ne possèdent en effet pas de licence bancaire. Elles proposent en réalité un compte sans banque. Il s’agit tout simplement d’établissements de paiement.

C’est la raison pour laquelle les néobanques n’autorisent aucun découvert, et proposent des cartes à autorisations systématiques. Elles peuvent en revanche tout à fait faire office de « banque secondaire », profitant de leurs tarifs parfois très avantageux à l’étranger ou sur certains critères précis. Représentées par la désormais célèbre N26, ces banques visent principalement les jeunes.

FAIRE LE CHOIX DE L’IMMOBILIER ÉTHIQUE

FAIRE LE CHOIX DE L’IMMOBILIER ÉTHIQUE

L’essentiel de l’immobilier ISR

Immobilier durable, immobilier responsable, ISR immobilier ou Responsible Property Investment en anglais… les qualificatifs pour décrire la prise en compte de considérations Environnementales, Sociales et de Gouvernance (ESG) dans la gestion immobilière sont nombreux. Si les bonnes pratiques se diffusent dans la gestion, le nombre de fonds se réclamant spécifiquement de cette démarche reste limité. Cette note se propose de cerner les différents enjeux de l’investissement responsable en immobilier.

 

À RETENIR

 

– Dans un contexte de pression réglementaire, la prise en compte des critères environnementaux apparait comme une bonne pratique incontournable de gestion pour préserver la valeur financière des actifs immobiliers.

– L’intégration des trois piliers Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance se développe également, mais les démarches formalisées et systématiques restent plus rares. En France, Novethic recensait 2,88Mds€ d’encours déclarés comme ISR, soit 59% de plus qu’en 2013. *

– Dans un secteur où les certifications environnementales se développent rapidement, la capacité des fonds ISR à démontrer leur caractère différenciant au travers de l’amélioration effective de la performance environnementale des immeubles sera probablement un gage de crédibilité important pour la pérennité de ces démarches.

Les investisseurs pourraient jouer un rôle moteur pour le développement d’un immobilier responsable en vérifiant l’amélioration effective réelle des portefeuilles et en promouvant la prise en compte des thématiques sociales et de gouvernance aujourd’hui souvent peu traitées.

 

Le marché de l’immobilier d’investissement 

 

Particuliers et investisseurs institutionnels peuvent investir dans l’immobilier de diverses façons. D’une part, ils peuvent investir directement dans des immeubles dont ils deviendront propriétaires. D’autre part, ils peuvent investir indirectement au travers de foncières cotées ou de fonds non cotés comme les OPCI (organisme de placement collectif en immobilier) et les SCPI (société civile de placement immobilier).

Les multiples enjeux ESG de l’immobilier

En France, le secteur de l’immobilier et de la construction représente 43% de la consommation d’énergie finale, 25% des émissions de gaz à effet de serre, 16% de la consommation d’eau et 40% de la production de déchets3. Les investisseurs jouent un rôle déterminant pour la réduction de ces impacts sur l’ensemble du cycle de vie du bâtiment. Par leur choix lors des constructions neuves et des rénovations, ils peuvent influencer directement la performance environnementale du bâti. Lors de la phase d’exploitation, ils peuvent indirectement entraîner de nombreux acteurs de la chaîne immobilière : locataires, gestionnaires techniques, prestataires de nettoyage, de gardiennage…pour améliorer la performance des immeubles existants.

Ces enjeux environnementaux considérables ne doivent pas occulter les multiples défis sociaux et de gouvernance. En effet, le secteur de l’immobilier participe notamment à la structuration de la ville. Au travers des choix d’implantations et de typologies de bâtiment (bureaux, logements, commerces, immeubles mixtes…), les acteurs participent au dynamisme des quartiers et à la régénération urbaine. Le secteur est également exposé aux enjeux de corruption, de conflits d’intérêt et de droit du travail pour les ouvriers du bâtiment notamment. Ces défis ont été soulignés dans la déclinaison de dix principes du Global Compact au secteur de l’immobilier et de la construction publiée en juin 2015 en partenariat avec la RICS, association des professionnels de l’immobilier.

Pour l’investissement indirect en pierre papier (fonds non cotés) :

Les investisseurs analysent alors l’amélioration de la performance extra-financière des portefeuilles. Existence d’objectifs chiffrés et réduction effective des impacts sont alors des critères clés. En outre, ils examinent les politiques sociales et les modes de gouvernance des gérants. Ces derniers sont en effet de plus en plus nombreux à s’engager sur des chartes éthiques et responsables en signant notamment les Principes pour l’Investissement Responsable. En France, 16 gérants de fonds immobiliers non cotés appliquent les principes d’investissement responsable (PRI) soit en tant que signataires (comme BNP PARIBAS REIM) soit en tant que filiales d’un groupe signataire (comme AMUNDI IMMOBILIER).

Offrir une bonne transparence sur les démarches et leurs impacts

Quelques acteurs communiquent d’ores et déjà leurs approches sur leur site internet à l’image de La Française REIM qui présente les grandes pondérations de sa matrice d’analyse ESG, ou d’Amundi Immobilier qui a mis en ligne sa charte ISR Immobilier. Mais les reportings publics et détaillés sur la performance extra-financière restent rare. Parmi les 32 répondants de l’enquête ASPIM/Novethic 2015, seuls deux acteurs ont mis en ligne de tels documents.

Le déploiement du code de transparence AFG/FIR/Eurosif aux fonds ISR immobiliers ouverts au public permettrait de favoriser les pratiques de reporting auprès des clients institutionnels et particuliers. En pratique, aucun fonds immobilier n’y répond aujourd’hui et le groupe de travail de l’AFG en charge de réfléchir à une adaptation du code spécifique à l’immobilier n’a pour l’instant pas abouti. Il s’agirait cependant d’obliger les gérants à reporter tant sur l’intégration des critères ESG dans les process de gestion que sur les résultats obtenus au travers d’indicateurs clés de performance.

Démontrer l’impact réel des politiques

Alors que la prise en compte des considérations environnementales se généralise dans la gestion immobilière, le seul recours à des certifications et des labellisations n’est plus un critère différenciant pour des fonds immobiliers se réclamant ISR.

En effet, la certification est devenue la norme tant pour les grands immeubles neufs que pour les importantes rénovations. Lors de l’exploitation, les foncières sont également de plus en plus nombreuses à avoir recours à des certifications à l’exploitation (HQE Exploitation, BREEAM in USE, LEED EBOM). Cependant, ces certifications peuvent cacher des niveaux de performances réelles parfois très différents. D’une part, ces certifications peuvent être obtenues avec différents niveaux d’exigence. L’ambition environnementale de l’immeuble variera ainsi entre le simple respect de seuils minimaux (niveau Pass pour BREEAM par exemple) au respect des critères les plus ambitieux du référentiel (niveau Outstanding pour BREEAM par exemple). D’autre part, les certifications ne sont pas nécessairement un gage de réduction des impacts réels de l’immeuble. Un bâtiment certifié peut par exemple être plus énergivore qu’un bâtiment non certifié sur lequel un suivi des consommations réelles sera effectué. Au-delà de la certification, le débat porte donc aujourd’hui sur l’amélioration effective des portefeuilles existants. Le baromètre Novethic 2014 montre ainsi que 10 des plus grandes foncières françaises cotées ont pris un objectif d’amélioration chiffré des consommations énergétiques de leurs immeubles sous gestion, et reportent annuellement sur les résultats effectivement obtenus.

Un immobilier ISR véritablement discriminant suppose donc d’être en capacité de démontrer une amélioration significative des performances par rapport à la moyenne du marché. Pour les critères énergie et gaz à effet de serre, la Climate Bond Initiative, association promouvant les Green bonds, recommande par exemple que seuls les immeubles présentant des performances réelles situées dans les 15% meilleures du marché puissent être considérés comme compatibles avec les objectifs de lutte contre le changement climatique. Et il ne s’agit là que d’un minimum !

Extrait du rapport « l’essentiel de l’immobilier ISR » 2015

Orapp sélectionne pour vous  - après une enquête minutieuse - uniquement des fonds immobiliers ISR avéré. N'hésitez pas à nous contacter pour plus de précision. 

 

CLIMATE FINANCE DAY 2017 – PARIS

CLIMATE FINANCE DAY 2017 – PARIS

Le 11 décembre à Paris : un 3e Climate Finance Day pour accélérer la mobilisation internationale sur le financement de la lutte contre le changement climatique

Afin de mettre en lumière les solutions apportées par le secteur financier et accélérer les engagements en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique, le ministère de l’Économie et des Finances et Paris EUROPLACE, avec son initiative Finance for Tomorrow, organisent une nouvelle édition du Climate Finance Day, le lundi 11 décembre prochain, à la veille du sommet international sur le climat « One Planet Summit » organisé par le Président de la République.

Le Climate Finance Day 2017, qui se tiendra au ministère de l’Économie et des Finances, réunira des représentants internationaux de haut niveau de l’industrie financière, des autorités de régulation et de supervision, ainsi que des banques publiques. Il mettra en évidence les initiatives les plus innovantes pour accélérer le financement de la transition énergétique et de l’adaptation au réchauffement climatique. Il traitera de la transparence et de la gestion des risques, de solutions de financement pour l’économie réelle et de coopération publique-privé. Les initiatives les plus remarquables annoncées au Climate Finance Day seront également mises en valeur lors du « One Planet Summit » du lendemain.

Une semaine d’événements à Paris

Autour de ces deux rendez-vous prestigieux, une série d’autres évènements consacrés aux actions en faveur du climat se dérouleront tout au long de la semaine, témoignant ainsi de la forte dynamique autour de la finance verte et durable à Paris.

Le Climate Finance Day s’installe à Paris

Organisé pour la première fois en mai 2015 au siège de l’Unesco à Paris, le Climate Finance Day a renforcé l’élan des engagements du secteur financier sur le climat. Ce mouvement, qui a culminé à la COP 21, a pris une ampleur considérable depuis l’adoption de l’Accord de Paris. Aujourd’hui, nombreux sont les banques, les assureurs, les investisseurs qui adoptent des stratégies de décarbonation des portefeuilles, d’investissement dans les énergies renouvelables ou de création de nouvelles solutions de financements verts.

La première édition du Climate Finance Day en 2015 portait sur la réorientation des flux de capitaux vers une économie bas carbone intitulée “How to Shift the trillions ?”. La seconde, organisée par la place financière de Casablanca à l’occasion de la COP22, était axée sur le passage à l’action, notamment en Afrique. Cette 3e édition du Climate Finance Day est placée sous le signe de l’accélération de la mobilisation et la poursuite des engagements.

Pour accroître la contribution de l’industrie financière à la lutte contre le changement climatique, le Climate Finance Day va désormais rassembler chaque année à Paris les acteurs qui jouent un rôle moteur dans la mobilisation internationale.

Retrouvez l’actualité de ces événements sur la page Facebook d’Orapp, à partir du 11 décembre 2017.

Un dernier mot de Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique et solidaire:

La lutte contre le changement climatique nécessite une mobilisation sans précédent de flux financiers publics et privés sur la planète, pour transformer nos systèmes énergétiques et agricoles, sortir des énergies fossiles, pour adapter nos infrastructures et nos villes aux conséquences du dérèglement climatique, pour restaurer enfin les écosystèmes et renforcer leur capacité de séquestration et de stockage du carbone. Cela demande d’investir plus et d’investir mieux qu’aujourd’hui, en orientant rapidement les financements vers des technologies de rupture et la massification des solutions existantes. Nous n’avons qu’un bref délai pour inverser la tendance des émissions de gaz à effet de serre. Le Climate Finance Day est l’occasion pour les acteurs financiers de se mobiliser dès aujourd’hui pour inventer demain.

Si vous êtes intéressés par plus de renseignements sur les sujets comme la finance verte ou l’épargne solidaire,  n’hésitez pas à nous contacter.

LES GREEN BONDS EN CHIFFRE

LES GREEN BONDS EN CHIFFRE

Dans l’article du mois dernier « Green Bonds, obligations environnementales », nous vous présentions  ce que l’on appelle les Green Bonds, pour vous aider à comprendre les enjeux responsable et solidaire de ces obligations. Aujourd’hui nous vous donnons une vision chiffrée de leur croissance, et leurs perspectives.

Green Bonds: Une croissance dynamique

 

Montant de l’émission et montant cumulé 
montant impayé par mode d’occupation
montant impayé par coupon

 

 

montant impayé par pays

 

montant impayé par type d’émetteur

 

 

Pourquoi cette dynamique des green bonds ? Quelles perspectives ?

 

Au-delà de la tendance au développement de l’investissement socialement responsable et à sa diffusion aux différentes classes d’actifs, la dynamique des Green Bonds s’inscrit dans le cadre de la prise de conscience croissante des enjeux de la lutte contre le changement climatique et du financement de la transition énergétique.

Ainsi, cet investissement consenti par les émetteurs français reflète deux tendances fortes, particulièrement sensibles chez les grandes entreprises et le secteur public territorial :

• la volonté de mieux décrire au marché leur gestion stratégique et leur adaptation aux enjeux de la mutation énergétique mondiale, en termes environnementaux, économiques, voire géostratégiques, à ses risques comme à ses opportunités ;

• la conviction qu’il existe chez les grands investisseurs, français, européens et internationaux, un niveau de conscience croissant de ces enjeux, pour des raisons éthiques, pour la maîtrise de leurs risques (et de leur rendement à long terme) et la protection de leur propre base de clientèle.

Pour les émetteurs, l’accès à la ressource longue est déterminant pour le financement de ces mutations, dans un contexte où la génération soutenable d’énergie, la maîtrise de la consommation ainsi que l’évolution du mix énergétique en Europe et en France pour lutter contre le réchauffement climatique mais aussi améliorer l’indépendance énergétique et la compétitivité industrielle, supposent la réalisation d’investissements massifs dans de nombreux secteurs économiques. L’émission de Green Bonds leur a, dès à présent, permis de diversifier leurs investisseurs, notamment par l’intérêt manifesté par les institutionnels d’Europe du Nord exprimant, à la fois, de fortes attentes ISR et une volonté d’engagement dans la lutte contre le changement climatique.

Pour les investisseurs, un mouvement s’est en effet engagé au plan international et se déploie progressivement :

• décarbonisation des portefeuilles et prise en compte des risques liés aux actifs dont la valeur est fondée sur des réserves fossiles qui ne devraient pas être exploitées si on veut limiter le dérèglement climatique ;

• fléchage des investissements vers des actifs participants à la transition énergétique mondiale ;

• demande de labels pour des produits financiers qui pointent spécifiquement sur les enjeux de la transition énergétique et de la lutte contre le changement climatique.

Si ce mouvement s’appuie sur les approches développées depuis plus d’une décennie dans le domaine de l’Investissement Socialement Responsable (sélection de titres best in class, engagement pour demander aux émetteurs de modifier leurs pratiques, exclusions de secteurs d’activité ou sur des critères formels que doivent remplir les émetteurs), de nombreux acteurs concernés recherchent des méthodes permettant davantage de ciblage et de mesure des impacts.

Toutefois, le champ des Green Bonds ne se réduit pas à cette seule dimension de la transition climatique. Des actifs intégrant d’autres enjeux environnementaux ou des dimensions sociales et sociétales font aussi l’objet d’émissions spécifiques, qui tirent parti de ce contexte.

 

Extrait du rapport « Green Bonds – l’engagement et l’expertise des acteurs français  » Paris Europlace. Le rapport complet ici.

 

Si vous êtes intéressés par plus de renseignements sur les Green Bonds, n’hésitez pas à nous contacter.

Green Bonds, obligations environnementales

Green Bonds, obligations environnementales

Green Bonds: De quoi parle t-on ?

Obligations environnementales

L’appellation « Green Bonds » (« obligations environnementales » ou « obligations vertes ») est apparue, depuis quelques années, pour désigner des produits de dette à thème, lancés à partir de 2007 par des banques multilatérales. Dans leur sens le plus courant, ces obligations permettent de flécher le financement accordé par les investisseurs vers une utilisation définie, à savoir, des actifs présentant des bénéfices environnementaux. Il n’existe pas, à ce stade, de définition réglementaire.

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FINANCE FOR TOMORROW

FINANCE FOR TOMORROW

FINANCE FOR TOMORROW : Une marque pour inciter la finance à miser sur un avenir durable

Mardi 13 juin, l’initiative « Finance for Tomorrow » (La finance pour demain), dont Novethic est partenaire, a été révélée à Paris Europlace. Son but est de promouvoir la puissance de l’écosystème français en matière d’investissement responsable et de finance verte.

« Finance for tomorrow, c’est une marque destinée à rendre visible toute la puissance de l’écosystème français lié à l’investissement responsable et à la finance verte« , explique Philippe Zaouati, le président de l’initiative lors du lancement organisé à Paris Europlace le 13 juin. Elle rassemble une quarantaine de membres dont les principales associations de place (AFG, FBF, FFA…) et Novethic.

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Les FinTechs en 2016

Les FinTechs en 2016

Les Fintechs en France 2016.

Des services financiers pointus pour tous. Passer à la finance du futur avec les fintechs.
Bankin, Linxo, Compte Nickel ou encore Leetchi il existe une centaine de FinTechs en France. Contraction de finance et de technologie, ce terme désigne des entreprises concurrençant les acteurs traditionnels (banque, gestion de patrimoine) grâce à la technologie dans le domaine des finances personnelles. Grâce à elles, le particulier a accès à certains services à moindre coût, on peut tout simplement bénéficier de prestations autrefois réservées aux clients les plus aisés. Certaines FinTechs n’en sont encore qu’au stade embryonnaire, mais d’autres sont déjà bien installées : le compte sans banque Nickel affiche plus de 240 000 clients, tandis que l’appli de gestion de budget Bankin compte plus d’un million d’utilisateurs.

(Source INTERET PRIVE avril 2016)

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Pierre Rabhi et la COP21

Pierre Rabhi et la COP21

Pierre Rabhi parle de la COP21

(Source : Le Monde) – Il ne sortira rien de cette énième grand-messe. J’ai du mal à croire que les changements structurels nécessaires y soient actés. Il faut entrer dans une nouvelle ère, celle de la modération : modération de la consommation et de la production. Les Etats vont-ils décider d’arrêter la pêche industrielle et l’agriculture intensive, et ainsi cesser de piller les océans ou la terre ? Vont-ils réfléchir à un juste partage des ressources entre Nord et Sud ? Je n’y crois pas. Or il y a urgence, car ce n’est pas la planète qui est en danger mais l’humanité. La Terre, elle, en a vu d’autres. Ce que je reproche à la COP21, c’est de faire croire que ces discussions permettent de résoudre les problèmes, alors qu’on ne s’attaque pas aux sources des déséquilibres. C’est le même travers que celui de l’humanitaire, qui consiste à être généreux envers des personnes que le modèle a rendus indigents.
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